Houellebecq, Danton e le Parisien (ça va sans dire)

“Houellebecq écrit de manière fatiguée, lascive, acide, exactement comme le monde qu’il décrit est fatigué, lascif et acide”, écrit dans Sole 24 Daniele Bellasio. “La fin justifie les moyens, et réciproquement. Pour cela, il peut être, et il l’est souvent, détesté, il énerve, mais il ne peut laisser indifférent”.

viaHouellebecq, superstar des ventes en Europe avec “Soumission”.

Ecco il post di Danton citato in versione integrale: Sottomessi a Houellebecq